
Texte français en bas.
In un lontano dì incontrai la bella e lucente Isild dagli ingenui occhi tondi, aux yeux ronds des ingénues, che mi fissavano increduli perché tosto io, l’Achille, bon vivant généreux, mi ritrovai ignudo e bagnato al suo guardare – rubati i miei vestiti dalli ignoti impenitenti mentre godevo il frescume delle dolci acque del Lac du Salagou – e così raggiunsi, col batticor e con ali appesantite perché di acqua infracicate, fresche frasche a coprire le mie pudenda ovver “ciò per cui si deve provar vergogna”. Ma lesta e per nulla intimidita la bella Isild volò sul ramo più alto delle frasche fresche e con garruli cinguettii, che ancor il mio cor ricorda, iniziò a lodare lo mio aspetto. “Che dispiacer coprire quelle vostre verdi luminescenti piume sotto quella, seppur bella, blusa di taffetà! Che rincrescimento non poter lustrare i miei yeux ronds des ingénues nell’ammirare tal petto e poi le vostre cosce e poi… e poi…” L’ Achille, bon vivant généreux, e di grande finezza d’animo, arrossì tutto d’un tratto e sentì avvampare lo cor suo ed anche ben altro… La bella e lucente Isild spiccò il volo e si allontanò lasciando l’Achille infelice e sbigottito perché già si era immaginato di brindare al nuovo amore… Ma Isild, dagli ingenui occhi tondi, tornò con tra il suo becco la blusa frusciante e sotto quel taffetà vibrante concepiron l’Uccello d’Oro…
Ma questa è un’altra storia ed occorre, orgià, un nouveau plateau….
Un jour lointain j’ai rencontré la belle et brillante Isild aux yeux ronds naïfs des ingénues qui m’a regardé avec incrédulité car bientôt moi, Achille, bon vivant généreux, je me suis retrouvé nu et mouillé à son regard – mes habits volés par des inconnus impénitents alors que je savourais la fraîcheur des eaux douces du lac du Salagou – et j’atteignis ainsi, avec inquiétude et les ailes lestées par l’eau qui s’émiettait, des branches fraîches pour couvrir ma pudeur ou “ce pour quoi il faut avoir honte”. Mais rapidement et pas du tout intimidée, la belle Isild vola sur la plus haute des branches fraîches et avec des gazouillis bavards, dont mon cœur se souvient encore, elle se mit à louer mon apparence. “Comme je suis désolé de votre couvrir vos plumes vertes brillantes sous cela, bien que magnifique, la blouse en taffetas! Quel regret de ne pouvoir éclater mon œil rond des ingénues en admirant cette poitrine et puis tes cuisses et puis… et puis…” Achille, bon vivant généreux et d’une grande finesse d’âme, rougit tout d’un soudain et il sentit brûler son cœur et bien plus encore… La belle et brillante Isild pris sa volée et s’en alla laissant Achille mécontent et étonné car il avait déjà imaginé boire au nouvel amour… Mais Isild revint avec son blouse froissé en son bec et sous ce taffetas vibrant ils ont conçu l’Ooiseau d’Or…
Mais ceci est une autre histoire et un nouveau plateau est nécessaire.